Oubliez ce qu'elle avait dit allé être dur, car je ne voulais pas qu'elle s'imagine que je lui en veulent, car c'était tous contraire je la remercier d'être là.
Nous reprîmes alors la direction de la maison, et je décida d'accélérer pour refaire une petite course.

- Allez viens !

Nous voilà partis dans une petit course qui ne dura pas très longtemps, mais qui nous permis de retrouver le sourire. Arriver devant la maison, je me précipita un l'intérieur, étant sûre qu'Edward était là, et me jeta dans ses bras.

- Tu ma manqué mon amour !

Lui chuchotais-je à l'oreille, encore dans ses bras. Puis je déposa un baiser, et il me posa à terre, voyant sa fille arriver.

Edward avait flemmarder toute la journée, sa famille n'étant pas présente aujourd'hui, il avait tourné en rond, joué au piano, était allé en forêt se remplir la panse. Mais lorsqu'il vit ou plutôt sentit sa famille arrivé il se repris aussitôt, heureux de les revoir comme toujours. Les deux jeunes femmes entrèrent avec le sourire, ce qu'il ravivais la journée du jeune vampire qui avait passé sont temps à ne rien faire de particulier.

Bella se jeta dans les bras de son époux à son arrivée pour l'embrasser comme à son habitude. Bien des années avaient passé mais leur amour était toujours aussi fort et présent.

- A moi aussi...

Murmura t-il dans l'oreille de Bella. Puis il lâcha son étreinte lorsque sa fille passa le seuil de la porte. Il alla vers Renesmée et déposa un léger baiser sur son front, juste avant de refermer la porte derrière elles.

- Alors vous avez passé une bonne journée entre fille ?

Demanda t-il tout en regardant l'une puis l'autre, à tour de rôle.

Il alla déposa un baiser sur le front de nôtre fille et ferma la porte derrière elle, tout en voulant qu'on raconte notre journée. Renesmée, me fit légèrement comprendre que c'était à moi de répondre. Alors je pris un grand sourire et répondit.

- Et bien ta fille m'en veux car j'ai essayer de lui faire mangé de la nourriture. Puis nous avons fait un tarte aux fraises, pour Charlie qui vient normalement ce soir si il sait se servir de son répondeur. Et ensuite nous avons était chassé, ... les biches je te rassure, tout en nous amusant, regarde on est toute trempé.

J'avais dit ça d'un ton habituelle et je ne pense pas qu'il est vu quelques chose d'autre en moi, je m'inquiétai plutôt pour les pensées de ma fille.

- D'ailleurs on va peut être allaient ce changeait, Renesmée va être malade au sinon !

Je raffermis ma prise sur ma femme qui voulait déjà me quitter. Ses vêtements humides mouillèrent ma chemise mais cela m'était égal. Quand Bella se trouvait dans mes bras, je parvenais difficilement à la relâcher. D'autant que sa chemise trempée me laissait entrevoir les dentelles de sa lingerie.

Me concentrant sur autre chose, j'interpellai ma fille qui filait vers les escaliers.

_ "Une tarte aux fraises? Tu es malade ma puce?"

Rien que de l'imaginait mordre cette pâte sans saveur et molle aurait pu me faire soulever l'estomac. Tournant Bella de trois quart, je lançai une grimaçe à ma fille qui la fit rire aux anges. Je sentis une main s'abattre sur mon épaule alors que je reportais toute mon attention sur ma femme.

_ "Essayerai-tu de me faire mal?"

POur toute réponse elle me vrilla de ses deux yeux magnifiques. Depuis quelques mois, ils ne cessaient de changer de couleur... perdant de ce rouge carmin pour devenir plus chauds, plus orangés à l'instar des miens.

Le sang animal qu'elle ingurgitait depuis sa transformation diluait de plus en plus ses dernières réserves de sang humain, elle me ressemblait chaque jour.

Aussitôt pour faire disparaître sa colère qui transpirait à travers ses traits crispaient, je m'emparai avidemment de ses lèvres et la fit fondre à mon premier contact.

Un "Beurk" me parvint dans le fin fond de mes pensées, et du coup de l'oeil je vis notre fille déguerpir dans sa chambre. Elle en avait assez de nous voir et de nous entendre tant notre amour été fort. Une soirée à la villa défilait dans sa tête pour ce soir... et je compris à quoi elle faisait hallucion.

Je déposa une tape sur l'épaule d'Edward qui ne lui fit pas mal du tout bien entendu. Je répondit à sa questions en le regardant de mes yeux légèrement en colère.
Il était impossible avec la nourriture humaine, tous comme sa fille, et pour ce qui s'agissait de ça c'était toujours avec les deux que je devait me battre. Pourtant c'était pour le bien de Renesmée.

Mais il fut pardonné très vite, grâce à ses baiser que je ne pouvais jamais refusais. J'esquissai un léger sourire lorsque j'entendis un "beurk" venant de la bouche de ma fille qui montait les escalier, elle était tout comme moi trempé. J'interrompis alors mon baiser me rendant compte que mes vêtements trempé avait trempé ceux d'Edward aussi.

- Je crois que maintenant on a pu qu'a ce changé tous deux ! Lui dis-je d'un grand sourire.

J'étais heureuse de le revoir, il m'avait manqué.

_ Effectivement, je suis bon pour me changer également! Mais cela ne me gêne nullement. Je partis dans un rire qui me secoua les épaules.

Je laissai mes mains tomber et attrapai sa main au dernier moment, afin de la conduire dans notre chambre pour nous changer.

_ Au fait Nessie ne reste pas avec nous ce soir? J'ai entendu son esprit parler d'une soirée à la villa. Tu en penses quoi?

Il était merveilleux, c'était un mari et un père parfait.

- Oui elle dort ce soir à la villa ! ... Elle veut se changez les idées, et comment dire pouvoir dormir. Enfin c'est ce qu'elle ma fait comprendre.

Lui répondis-je en souriant.
Oui, Renesmée m'avais très bien fait comprendre que elle avait besoin d'une bonne nuit de sommeil, et que cela était un peu, enfin même beaucoup à cause de nous deux, j'avais d'ailleurs étais très gêné la dessus. Edward lui ne souriait pas beaucoup, il était un peu gêné, même si mon air un peu gêné moi aussi le fit sourire. Pour le détendre un peu je m'approcha de lui, collant pratiquement mes lèvres au siennes.

- Mais prend plutôt ça du bon côté, on a toute la nuit pour nous ! Ajoutais-je.

_ Il est vrai que ce sera agréable de nous laisser aller?

Arrivant dans notre chambre j'envoyais ma chemise au sol et me dirigeait vers ma penderie pour prendre un t-shirt au passage. Soudain, la main de Bella agrippa la mienne, lançant un regard furibond sur ma chemise jetée négligemment par terre.

_ Désolé, je vais la mettre dans la panière, je ris doucement de sa mise en garde silencieuse.

Alors que j'allais me rendre dans la salle de bains, je jetai un oeil discret dans la chambre de Nessie, elle préparait sa petite valise pour se rendre à la villa.

_ Besoin d'un coup de main ma puce? elle m'en voulait d'avoir mis court à mes explications sur Jacob, je tentai de me faire pardonner en me montrant prévenant. Notre fille adorait l'art du boudin!

Pressée de faire ma valise pour ce soir, je souriais, toute excitée de monter dans ma chambre pour vite enfiler une nouvelle tenue. Je choisissais une jolie robe bleue à voilage, enfila mes ballerines et m’empressa ensuite de choisir mes vêtements. Plantée devant mon dressing, je regardais avec un sourire, tous ces habits.

Ma passion pour le shooping était dû à ma chère tante dont ce soir avait prévu de me faire un défilé de vêtements. Nous allions beaucoup nous amuser, j’en étais certaine. Et avec mes oncles aussi. Ils ne perdaient pas une minute aussi pour parier avec moi. C’était marrant. J’entendis la voix de mon père et je répondis avec un merveilleux sourire

- Ahh oui, je veux bien ! Merci p’pa !

Je pris mon pyjama, une autre robe, des talons, deux jeans, trois tee-shirts … Mon père me regardait, tout surpris que je prenne autant de choses. J’éclatai de rire et répondis

- Oui, j’en prends beaucoup ! On est jamais assez prévenant, avec un sourire !

J'attrapai délicatement la main d'Edward en voyant sa chemise au sol, je sais très bien qu'il avait l'habitude de faire ça avec nos vêtements, mais là il n'avait aucune raison de le faire.
C'est alors en silence d'un simple regard que je lui fit comprendre de la ramasser, il s'excusa, et parti dans la salle de bain, sa chemise en mains.

Je le regardais partir en riant.
Puis je me retourna et me dirigea vers le dressing. Dans cette immense pièce je regardais ce que je pouvais bien me mettre. J'attrapai alors un jean que habituellement je ne mettais jamais, il était trop moulant à mon goût, mais ce soir était une soirée rien qu'avec mon mari. Puis j'attrapai aussi un joli petit débardeur bleu, qui se noué autour de mon cou. Encore une chose que je n'avais jamais mis, mais Edward serai ravi. J'enfilai alors le tout ainsi que de petite ballerines neuf. Puis m'allongea sur le lit attendant que ma fille et mon mari est fini la valise de cette dernière.

Je voyais ma fille entassée un nombre incroyable de vêtements dans sa petite malle en cuir, combien de jours comptait-elle s'exiler de notre maison? La laisser partir une soirée ne me dérangeait pas plus que ça, d'autant que Bella et moi en profiterons pour nous retrouver en tête-à-tête, mais je n'aimais pas l'idée que notre fille puisse nous abandonner plus d'une journée.

_ Combien de jours va tu passer à la villa en fait ?

Je savais qu'elle ne serait pas là si l'envie lui prenait de prolonger son séjour auprès de mes parents et frères et sœurs, mais ne plus la voir aller et venir dans la maison me perturbait. Elle était notre bulle d'oxygène, le ciment de notre couple, et ne entendre ses rires entre les murs de la maison me rendait fou d'angoisse.

Cette image m'en rappela une autre : le jour où elle quitterait définitivement notre cocon pour s'installer avec l'homme de sa vie pour construire son propre foyer. Ma fille grandissait et le jour de son départ se rapprochait inexorablement, je le sentais. Mon visage perdu sa gaieté soudainement. Je ne serai plus l'homme de sa vie, un jour un remplaçant viendrait me ravir de ma place, de mon piédestal dans son cœur...

Finissant de faire ma valise, je réfléchissais. Qu'allons nous faire avec Alice, Emmett, Rosalie ... Ils ne manquaient jamais d'idées pour me faire amuser si je peux dire ça comme ça. Je boucla ma valise et tout en regardant mon père, qui semblait dans ses pensées, je lui répondis

- Euh... je ne sais pas ! Je verrais bien suivant ce qu'Alice à prévu !

Je lui sourias tendrement puis repris

- Je vais te manquer papa ? lui souriant tendrement.

J'étais juste curieuse de savoir si j'allais leur manquer. A papa et à maman. Ils me protégeaient tant et étaient toujours là auprès de moi que quand j'allais à la villa sans eux, celà me faisait bizarre. D'un côté, je partais aussi à la villa pour quelques jours, pour pouvoir laisser du temps seul à seul entre mes parents. Ils pourraient en profiter au moins tranquillement sans avoir peur que je rentre les déranger.

Sa petite voix résonna dans ma tête, ce timbre de voix si doux avec ces rires enfantins. Tout d'un coup, elle se modifia devant mes yeux, pour redevenir une toute petite fille sautant gaiement sur ces petites jambes. Je me rappelais chacune de ses paroles, de ses jeux, de ses suppliques :

_ PAPAPAPAPAPA ! Fais-moi grimper sur ton dos ! PAPAPAPAPAPA on joue à la bagarre? Chut papa je me cache (sous son lit) maman veut me faire manger de la purée Beurk !!! PAPAPAPAPAPA calin.... que de souvenirs agréables du temps où il n'y avait que moi qui réussissait à capter toute son attention. J'étais son héros, son confident, la personne qui lui racontait des histoires.

Je m'approchais d'elle et la pris rapidement dans mes bras, posant ma joue sur le dessus de sa tête, la surprenant par ce soudain élan affectif.

_ Tu me manques à chaque seconde mon ange.

Lui souriant, je fus surprise de me retrouver dans ses bras rapidement sans savoir vraiment pourquoi il réagissait ainsi. Je lui manquais et cela était de plus normal non, pour un père affectueux et autant généreux que mon père. Cela était la même chose pour ma mère. Généreuse, patiente avec moi, … Toutes ces qualités de maman pour moi toute seule. Tous les deux étaient formidables et je ne regrettais pour rien au monde de les avoir comme parents.

Sa réponse me fit sourire tendrement et je répondis de ma voix mélodieuse

- Toi aussi, papa tu va me manquer. Tout comme maman. Vous êtes des parents formidables et n’en doutaient jamais. Je vous aime très très fort !

Je lui fis un baiser sur la joue avant de rigoler en lui envoyant des flashs de nos derniers moments ensemble. Une partie de lutte qui m’avait certes fait faire quelques acrobaties dont je me souviendrais, ensuite une partie de chasse amusante puis une partie de cache cache dans la maison en essayant de fuir maman et sa nourriture humaine. Au moins, j’étais sure qu’à la villa, ils ne me forceraient pas à en manger. Je ricanai intérieurement puis repris, lui chuchotant

- Tu es le papa le plus merveilleux au monde, avec le sourire charmeur que j’adorais faire pour ne pas qu’on me résiste.

Au bout de quelques secondes allongé sur le lit, n'écoutant rien d'autres que le bruit de la rivière a quelques mettre de la maison, je rouvris les yeux et me je me décidais à allé rejoindre ma fille et mon mari.

Je l'ai vit ainsi enlacé, Renesmée avait un jolie sourire au lèvres, et elle venait de lui chuchotais que c'était meilleur papa du monde, avec quelques larmes dans les yeux. Et une grosse valise ce trouvait sur le lit.
Mais que ce passait il donc ici ?

- Dites moi ? Qu'est ce qui ce passe ? Qu'est ce que c'est que cette valise ?

Demandais-je d'un grand sourire, mais au fond de moi j'étais légèrement inquiète.

Je repris conscience quand Bella entra dans la chambre, le regard soupçonneux. Je m'étais allé à peu trop de sentimentalisme pour quelques jours à la villa.... j'étais en train de déraillé.

_ Rhhumm (je me raclai la gorge) Je tente de donner un coup de main à ta fille. Elle vide son armoire pour défiler avec Alice. Je tentai de mettre une pointe d'humour dans mes paroles mais je ne trompais personne.

Je lâchai Renesmée, en lui tapotant la tête doucement pour ne pas lui faire mal non plus, et recula légèrement J'essayais de retrouver une certaine contenance malgré mon regard perdu et ma mine triste.

_ Pas d'acte stupide ou téméraire tant que tu seras à la villa! Sache que tes pensées ne me seront pas inconnues jeune fille, lui dis-je avec un clin d'oeil

Je me rapprochai de ma femme, puis passa un bras sur sa taille pour faire disparaître ma tristesse, elle me sourit et déjà je respirai mieux. Si Nessie parvenait à trouver le même amour que sa mère me donnait je serai alors satisfait et rassuré. Voilà tout ce que je lui souhaitais à ce moment là !

Apercevant maman à l’entrée de ma chambre, je lui souriais tendrement et vit mon père me posait par terre, me tapotant la tête doucement. Je ricanai dans ma tête en pensant qu’Alice avait déjà tout prévu pour cette soirée. J’étais toute excitée, déjà impatiente d’y être. J’adorais faire des soirées avec les membres de ma famille. C’était amusant et divertissant surtout quand mes oncles faisaient les imbéciles. J’en mourrais de rire à chaque fois.

La réponse de mon père me fit faire une légère moue et je lui souriais comme si de rien n’était. Si seulement papa, savait combien de fois, j’avais fait quelques bêtises avec Emmett, Jasper, Alice parfois … Grand-mère était même parfois obligé de mettre un peu l’ordre dans tout ceci. Je ne pouvais pas leur en vouloir et je dois dire que je m’amusais beaucoup moi.

- Je vais essayer ! en chuchotant avec un sourire diabolique aux lèvres

Je m’assis sur mon lit sagement, les regardant, souriante de bonheur en les voyant heureux et comblés de bonheur. Mes parents étaient incroyables, tant d’histoires vécues entre eux, leur amour n’avait pas été chose facile mais ils s’en étaient sorti indemne mais aussi pour finir avec un enfant qui n’était pas des plus communs dans l’histoire.

Edward se raclai alors la gorge, se reculant légèrement de sa fille, me répondant d'une pointe d'humour sur le défilai. Comme si j'allais le croire, il n'aidai en aucun cas sa fille, mais plutôt je dirais qu'il venait de jouais le père protecteur avec un peu trop sentimentalisme.
Ces alors avec une mise en garde en direction de sa fille qu'il s'approchait de moi. Je rigolais à ses paroles. Pas d'acte stupide ou téméraire ? Décidément il ne changeait pas avec toutes ses années, c'était les même paroles qu'il me disait il y a bientôt dix ans.

Il m'enlaçai alors entre mes rire, je lui souriais, et déposa un baiser sur sa joue.

- Et bien mon chéri tu sais que tu ne dupe personne ! (Dis-je en rigolant) Ne t'en fait pas Alice sait être très collante, et très bien surveillait quand elle à de la motivation !

Ajoutais-je en rigolant.
En effet j'avais trouvais le moyen avec Alice, enfin pour quelques temps, un moyen qui ressemblait beaucoup à celui que Edward avait employais lorsque il avait étais chassé, et que Alice m'avait pratiquement enlevé. Mais cette fois si ce n'était pas pour une voiture beaucoup trop voyante à mon goût, mais je lui avait juste donnais la permission de renouvelé, et d'agrandir mon dressing en échange d'une surveillance de quelques mois lorsque Renemsée serait a la villa, et surtout en compagnie de Emmet. Renesmée s'en doutais d'ailleurs très bien, ou elle le savait peut être déjà, Alice ne pouvait tenir sa langue.

J'opinai du chef sur les paroles de ma femme qui percevais très bien mon malaise. Elle lisait en moi comme dans un livre ouvert. Et plus le temps passait, plus sa lecture se faisait claire et limpide.

_ Et bien bonne soirée mon ange. Ne reste pas trop longtemps loin de nous tout de même. Oublie pas que ton chez toi c'est ici avec nous.

Mon affirmation était en fait une question détournée. Je ressemblais donc à tous ses pères angoissés par leur fille, quant à leur futures relations, leur avenir... Je ne pensai que mon comportement se modifierai autant au contact de ma fille. Pas que cela me soit honteux ou quoique se soit d'autre. Non, j'étais fier d'être un père aimant, peut-être un peu trop flippé par moment, mais tout cela me coûtait des inquiétudes. Heureusement, que je n'étais pas sujet aux ulcères.

Les regardant, toute souriante, je finis de boucler ma valise et la prit par le bras, voulant la descendre en bas, attendant qu’Alice vienne me chercher et que l’on commence notre soirée. Il me tardait de les voir, d’être avec eux pour quelques jours et que je commence à m’amuser avec eux.

- Merci papa ! Ne t’inquiètes pas, je serais absente que quelques jours et puis la villa n’est pas loin de la maison. Je pourrais toujours vous faire une visite surprise.

Je ricanai intérieurement en m’imaginant faire ainsi puis m’avançait vers eux, leur fit un baiser sur la joue à chacun avec dans les prendre dans mes bras et répondis en même temps

- Je vous aime !

Je leur souriais tendrement, portant ma valise pour la descendre en bas.

Son baiser claqua sur ma bouche, résonnant encore quelques instants dans mes oreilles. Elle amorça un début de départ, sa grosse valise sous le bras. Je lui pris rapidement et me dirigea avec en bas, dans le salon, pour attendre ensemble Alice.

_ Amuse-toi bien ma chérie.

A mon tour de lui faire un baiser sur sa joue et le plus beau de mes sourires pour qu'elle parte le cœur léger et non toute culpabilisante d'abandonner son papa trop envahissant. Je souris à cette remarque. J'entendis Bella s'approcher de moi, je l'enlaçai par la taille, mon pilier serait me remettre de mes émotions. Et puis notre soirée en amoureux allait être unique comme à chaque fois, cela me mit du baume au cœur.

Edward descendis sa grosse valise, on aurai dit qu'elle partait pour plusieurs mois.
Ces deux là alors, Alice et elle fessait bien là paire.

- Oui amuse toi bien ma chérie !

Dis-je en retournant dans les bras d'Edward.

- Mais fait attention à toi !

Ajoutais-je. Je n'avais après tout pas encore fait la mère inquiète, et pourtant c'était le cas, je n'aimais pas - tout comme Edward - qu'elle soit loin de moi.
Pourtant je m'imaginai déjà cette soirée, rien que tous les deux.