Bella semblait se réjouir de mon intervention mais je n'étais pas d'humeur joyeuse là maintenant tout de suite. Je voulais lui régler son compte une bonne fois pour toute à ce minable qui s'imaginait avec ma femme dans des postures les plus indécentes...

_ Mais peut-être que notre ami Mike voudrez se joindre à notre festin... Qu'en penses-tu mon coeur? As-tu envie de te régaler avec lui?

Je sentais mes yeux noircirent sous la colère, tandis que mes poings se serrèrent jusqu'à entendre ma peau craquer sous la pression.

*Waouh, qu'est-ce qui lui arrive à Cullen, il me fout la trouille ce con!*

_ Et bien Mike qu'en dis-tu, souhaiterai-tu te joindre à nous pour notre dîner? lançai-je à l'intéressé le voyant blêmir devant mon visage tiré par la colère qui irradiait de moi.

Oh la ! Mais qu'est ce qu'il lui prenait ?
Ses yeux noircissais, et ses poings se serrèrent. J'en attrapait alors un afin qu'il se détende, ses mots étaient de la provocation pur. Il ne manquait plus que Mike rentre dans son jeu.

- Edward arrête s'il te plaît ! Calme toi !

Lui dis-je en le repoussant délicatement.

- Mike je suis désolé !

Ajoutais-je à l'intention de se dernier, d'un ton sec, je lui en voulais à présent moi aussi pour avoir mis dans une rage folle Edward.

_T'en... t'en fais pas... Bella... Je vais vous laisser .... euh.... Candy m'a...m'attend. Salut! sur ces dernières paroles Mike déguerpis aussi vite qu'il était arrivé.

*C'est un psychopathe ce type! Si ça se trouve il doit la frapper! M'en fous c'est pas mon problème*

_ C'est ça dégage vermine ! sifflai-je entre mes dents toujours serrées.

Je le regardais s'écarter de nous, emmenant sa copine très loin de nous. Ils changèrent leur plan et regagnaient même leur voiture, le tout dans un pas précipité. Mais alors, qu'il s'éloignait et que ses pensées m'étaient un peu plus lointaines, je ne parvenais toujours pas à me calmer. Ses images tournaient en boucle dans ma tête. Je ne sentais même plus la présence apaisante de Bella.

J'étais fou de rage envers ce sale type répugnant !

Edward était tellement énervé que Mike s'enfuyait presque en courant. Je le regardais partir, puis sentit sous ma main le poing d'Edward qui ne ce déserrait pas, au contraire. Je me tournais alors vers lui posant mes mains sur ses joues.

- Edward ?

Il ne répondit pas. Mais qu'avait il ?

- Edward viens, on ira au cinéma une autre fois !

Je le tirai par la mains jusqu'à la voiture, la ou je vis la voiture de Mike démarré, à cet instant Edward ce raidit encore plus, j'attrapais alors ses bras, prête à le retenir.

- NON ! Calme toi s'il te plaît ! -Je pris alors les clefs de la voiture dans sa poche. - S'il te plaît monte dans la voiture !

Je fis de même de mon côtés, montant du côté conducteur, Edward était trop énervé pour conduire. Une fois installé je posa ma tête sur le volant quelques secondes puis me tourna vers lui pour quelques explications.

_Démarre la voiture Bella ! Fais-moi quitter cet endroit au plus vite s'il te plait! je me pinçai l'arrête de mon nez pour concentrer mes pensées sur autre chose.

Bella était paniquée, et c'était dans un état second que je m'étais laissé conduire à la voiture. Je ne réussissais pas à calmer ma hargne, et je me détestai de ne pas pouvoir me maîtriser. Il fallait que je souffle, que je me déconnecte, que j'arrête de penser à ce type.

Je venais de gâcher notre soirée, et cela n'arrangea pas mon état d'énervement. Pourquoi avais-je donc répondu au monstre qui sommeillait en moi? Pourquoi ce type avais réussi à me faire lâcher prise?

Je me contentai d'inspirer par le nez et d'expirer par la bouche. J'avais souvent vu Bella faire cet exercice de respiration qui réussissait à la calmer dans les moments de fortes tentions. Alors je l'imitai, tandis qu'elle déboita sur la route, faisant crisser les pneus sur le bitume.

Sur sa demande je démarrais en trombe, décidai à sortir de cette ville, le plus loin possible de ce cinéma.

- Ou veut tu allez ? Lui demandais-je, ralentissant légèrement (du 180 au 130 km/h).

J'étais paniqué, il fallait qu'il se calme, je ne pourrais aucunement le retenir si cela ne se passé pas comme il le fallait. Seulement il ne répondait pas à mon interrogation, il enfouissait son visage dans ses mains, tout en essayant de se calmer. J'attrapai alors une de ses mains.

- Edward ?

Relançais-je. J'avais peur, il ne me répondais pas.

_ Arrête la voiture ! Faut que je sorte !

Bella gara la voiture sur le bas côté de la route, l'air ahurie par le ton virulent de ma voix. Une chance pour moi, une forêt s'étendait à 600 mètres de l'endroit où nous étions.

_ Laisse-moi cinq minutes je reviens!

Je disparus dans les sous-bois, tous mes sens aiguisés et éveillés pour calmer la bête au fond de mes entrailles qui me réclamait inlassablement son dû! Du sang !
Ne sachant pas ce que je chasser réellement, je m'abattis sur la proie venue, lui arrachant la tête au passage pour me repaitre de son sang chaud qui coulait le long de ma gorge et faisant taire le monstre, qui une fois satisfait regagna son repaire.

Edward descendis de la voiture, me disant de rester ou j'étais. Je restais alors ainsi au volant quelques secondes, puis sortis à mon tour de la voiture, et alla m'asseoir contre un arbre à l'entrée de la foret. Je l'attendait patiemment tout en essayant d'entendre ses pas, je ne savais se qu'il fessait, je ne savais quand il reviendrait. Je fermais alors les yeux afin de mieux le percevoir.

J'entendis ainsi ses pas avancé doucement vers moi, j'ouvris les yeux, me leva et avança délicatement vers lui, pour m'arrêter à quelques mettre. Je n'osai avancé plus.

- Edward ? ... Edward répond moi s'il te plait !

Lui dis-je inquiète plus que jamais.

Je ne m'étais pas contenter d'une seule proie, et j'en égorgeais plus d'une en un rien de temps. Je bus plus que de raison, plus que je n'étais habitué à ingurgiter. Une pesanteur se fit ressentir dans tout mon corps annihilant tous mes sens.

Une fois rassasiée, je regagnai d'une allure tranquille la voiture dont les phares continuaient d'éclairer la route. A côté d'un arbre j'aperçus le visage défiguré par la peur et la panique de Bella.

- Edward ? ... Edward répond moi s'il te plait !

Sa voix était fluette, un couinement tout au plus. Je marchai droit sur elle, laissant tomber ma tête sur son épaule.

_ Je suis désolé pour mon comportement. La jalousie est un sentiment plus nocif que je ne le pensais! je respirai son parfum comme pour terminer mon exercice qui consistait à me calmer, pui reprit d'une voix régulière:

_ Tu n'imagines pas ce que (grognement.... inspirer, expirer...) C'était horrible de voir ce à quoi il pensait... avec toi dans ses pensées. Pour moi c'est comme s'il t'avait manqué de respect, pire même! Je ne ...

Laissant ma phrase en suspens j'interrompis mes explications pour ne penser qu'au bruit du vent qui soufflait sur nous, à sa respiration saccadée qui me détendirent.

Ma respiration était beaucoup trop forte, Edward interrompis alors ses explications pour écouté le vent, tous les bruit de la nature.

- Je suis désolé ! Murmurais-je.

Je relevai alors sa tête de mon épaule et regardai ses yeux, détaillait son visage. Ses yeux était redevenus topaze, ses trais était moins dur, j'abaissai alors mes mains pour attrapait les siennes. Je voulais vérifier si tous allait vraiment bien, ses mains elle aussi était détendu.
Je plongée alors dans ses bras entourant les miens autour de son cou.

_ Tu n'as pas être désolée pour les autres Bella. Ce n'est pas de ta faute si ce mec est un pervers.

Je déverrouillai l'étau de ses bras enroulés autour de mon cou pour la regarder dans les yeux.

_ Ne t'excuse pas pour les autres, tu n'y es pour rien si ça m'a rendu dingue. C'était si avilissant que j'ai voulu le tuer pour avoir imaginé des choses pareilles. Mais tout va mieux, je suis là .

Je la saisi par les hanches et la soulevai du sol pour la plaquer contre moi. Nos deux visages étaient désormais à la même hauteur, tandis que ses pieds, à vingt centimètres du sol, se balançait dans le vide.

_Je vais bien, désolé de t'avoir fais peur ma chérie, me pardonnes-tu? Malgré toute la douceur que je m'appliquai à mettre dans ma voix, ces sourcils ne c'étaient toujours pas détendus.

Un tour à la villa parviendrai peut-être à la détendre, et à oublier ce fâcheux accident méprisable.

Je me sentais si apaiser dans ses bras, je ne voulais plus les quitté.

- Je ne t'en veux pas, non ! Mais s'il te plaît ne me dit pas que tu vas bien, car c'est faux !

Il ne me répondit pas, il se contentait simplement de me fixai dans les yeux, en me tenant toujours dans ses bras. Je posais alors ma tête sur son épaule.

- A quoi pense tu ?

Lui demandais-je. Il ne parlait pas, ses yeux me fixai sans pratiquement me voir, il n'allait pas bien, je caressais alors du bout de mes doigts sa joue. Dans l'obscurité de la foret, même si je voyais très bien.

_ Ne t'en fais pas c'est juste le contrecoup. Et puis Alice ne m'a pas appelée, c'est qu'elle savait que je ne tuerais personne ce soir, malgré le risque qu'un fou vient de prendre.

Depuis notre départ de la maison, je n'avais cessé d'épier le moindre de ses mouvements, de ses respirations, pour savoir exactement quand elle ne pourrait pas tolérer plus. J'attendais de voir ses limites, et finalement j'avais craqué en premier.

_ Vous êtes bien plus forte que votre mari, Madame Cullen! Je me prosterne devant tant de self control pour un si jeune vampire. (je riais de mon propre constat) Trêve de plaisanterie, je suis très fier de toi.

Je disais vrai! Elle me comblait de joie et de respect. Ce petit bout de femme était encore plus forte que je ne me l'imaginai. J'avais émis une hypothèse quant à son self control devant son père, puisqu'il était une personne importante à son cœur, mais je ne pensais pas qu'elle réussirait à maîtriser sa soif face à n'importe quel être humain.

Tout en elle n'était que bonté, responsabilité et gentillesse, la transformation n'avait en rien modifier ses traits de caractère que je respectais tant.

Plus forte que lui ? Non !
Je ne sais pas comment je réagirai par jalousie, et si j'entendais certaines pensés qui ne me plairais guère. J'avais juste la personne qui me fallait au près de moi, et je n'aurais en aucun cas voulu le mettre en danger, mettre danger sa famille.

- Je n'ai aucun mérite Edward ! Tous ça est de ma faute, j'aurais du remettre en place Mike quand il la fallait, je n'aurais pas du faire ma gourde pour qu'il nous repère, et je n'aurais pas dû te laissé t'énervai à ce point là ! J'aurais du te faire quitté ce fichu cinéma bien avant ! Je suis désolé !

J'avais dit sa presque d"une seule traite, ne voulant pas qu'il me coupe, seulement ma respiration était encore saccader, et ma voix si faible.

_ Arrête de te flageller, tu n'y es pour rien. Je suis le seul à pouvoir lire dans les pensées des gens. Et il normale que par moment je vienne à payer le prix de ces intrusions dans leur vie privé.

Bella restait sceptique quant au bien fondé de mes paroles, je tentai de la rassurer avec mes douces paroles, mais n'y parvenant je fis appel au langage de mon corps.

_ Mais sinon tu peux me faire oublier ce sale type ! Fais-moi oublier que j'ai gâché notre soirée!

Je la reposai délicatement au sol tout en l'embrassant en continue, mais elle s'agrippait toujours fermement à mon cou, forçant de ses bras pour garder mes lèvres sur les siennes. Ainsi je me redressai, décollant de nouveau ses pieds du sol. Elle enroula dans un mouvement rapide ses jambes autour de ma taille, m'enserrant fermement entre ses cuisses.

La pression de sa bouche sur la mienne se fit plus forte, plus hardante. A partir de cet instant tout m'échappai, je ne pensai qu'à elle et ne désirai qu'elle.

Nous étions l'un pour l'autre comme une injection de cocaïne. Dès que nos goûtions un peu trop à l'autre, ne nous pouvions plus reculer, plus nous maîtriser. Nous en demandions toujours plus jusqu'à atteindre les sommets du nirvana. Rentrant dans notre bulle ouatée, et exclu tout ce qui se trouvait autour de nous. Nous ne contrôlions plus rien.

Si nos cœurs savaient se parler, nos corps bénéficiaient aussi de leur propre langage, rythmé par nos sentiments.

Notre amour était entier et immense. Sans doute trop immense, nous faisant souffrir à cause de l'absence de l'autre... Mais en cet instant plus rien ne compter si ce n'est elle.

Lui faire tous oublié cela était dans mes cordes. Il voulut me déposai au sol, mais moi je ne voulais à présent plus quitté ses lèvres, je m'agrippai alors à son cou tous en continuant notre douce danse avec ses lèvres si merveilleuse. Je fessais en sorte de lui montré tous mes désir dans se baiser. Edward me souleva alors à nouveau, j'enroulai fermement mes jambes autour de sa taille, ne voulant pas qu'il m'échappe.

J'oubliais tous à présent dans ses bras, qui eux c'était enroulés fermement autour de ma taille, je voulais plus qu'un simple baiser, je mis alors plu de pression sur ses lèvres. Edward d'un simple mouvement répondit à ma demande, et nous fit alors tombé au sol, sur un nid de feuille.

Je rigolais alors, en pensant à l'endroit ou nous trouvions. Nous étions à la sortie de la ville de Port Angeles, à l'entrée d'une foret, je pouvais encore distinguais à 600 mètres de la les fars de ma voiture, qui éclairé la route. Seulement cela m'étais égale, j'étais avec lui et seul cet perspective compter. Et tous ça était bien mieux qu'un cinéma.

Pour une fois, Bella ne fut en aucun gênée du lieu dans lequel nous nous trouvions. En effet, le route n'est pas loin de nous, et même si la nuit et le couvert des arbres nous dissimulaient, notre voiture n'allez pas passé inaperçue avec ses phares allumées et les portières restaient ouvertes.

Mais Bella ne semblait pas le moins du monde s'en préoccuper. D'ordinaire elle qui était toujours si gênée, si intimidée m'embrassait avec une passion dévorante. Ses lèvres me consumaient en même temps que je renonçai moi aussi à être sage.

Nous tombâmes à même le sol, faisant voler des feuilles autour de nous.

_ Pardon, je ne t'ai pas fait mal mon amour? devant ma remarque complètement hors propos (étant aussi invincible que moi) nous éclatâmes d'un rire sonore. Les oiseaux de nuit posaient dans les arbres voisins décollèrent tous au même moment dans un bruissement d'ailes et de plumes.

Une plume vint se poser délicatement sur la joue de Bella, et avant qu'elle ne s'en débarrasse je m'emparai vivement.

Pour faire honneur à notre soirée, elle avait enfilé une ravissante chemise bouffante ainsi qu'une jupe dont les volants se soulevaient avec la force du vent. Je défis un à un les boutons de sa chemises, rabattant les pans pour me laisser apercevoir son soutien gorge. Puis, du bout des doigts je fis glisser délicatement la plume sur ses seins rebondis. Je me remontai sur son cou, sur ses joues, sur ses yeux clos, sur ses lèvres, lui arrachant quelques plaintes de plaisir.

Je voulais faire monter son plaisir crescendo, tout en la déshabillant progressivement la rendant folle avec cette simple plume.

Je haïssais cette oiseau qui avait fait tombé cette plume, je devenais folle mais dans un autre je le remerciai du fond du cœur. Cela me remplissais de plaisir.
Edward s'amusait avec cet simple plume, mais il ne voulait plus approchais ses lèvres des miennes. Alors d'un simple geste, j'attrapai la plume de ses mains, en attrapant en même temps son visage pour que enfin ses lèvres me reviennent.

Je voulus alors arracher son t-shirt mais au dernier moment je me retins. Tout d'abord parce j'étais à deux doigts de l'arracher, puis parce que nous étions à quelques mettre de la route, et que ma pudeur commençais à me chagrinais !
Et si quelqu'un arrivait ?

Elle me pris au dépourvu en s'emparant de mes lèvres, je ne l'avais pas vu venir et ne réalisai sa présence que parce que ses lèvres forçaient sur les miennes. Ma plume avait disparue de mes mains et le plaisir que je lui avait donné commençais à la faire bouillir.

Puis d'un seul, elle se cambra légerèment, signe qu'elle revenait un petit peu à la réalité et surtout dans le lieu où nous étions.

_Si tu veux nous pouvons continuer ailleurs. Rappelles-toi que notre fille est chez mes parents et ce pour toute la nuit...

En aucun cas je n'aurai fait la moindre chose ou dit la moindre parole qui l'aurait fait culpabilisée. Je ne voulais faire que ce qu'elle désirait ou non. Et je savais que ce lieu n'était pas pour la rassurer et l'épanouir sexuellement, pas quand des phares d'une voiture aurait pu nous éclairer par inadvertance.

J'étais un peu mal alaise ici, pourtant je voulais rester dans ses bras, je n'avais pas le courage de me levé et de repartir, d'attendre. Mais les lumière des fars sur la route qui éclairais l'entrée de la foret me bloquai quelques peu.

Edward fut encore parfait sur ce coup là, il me proposai de rentré au cottage, me rappelant qu'il était vide à cet instant, et que Renesmée n'était point là. Pourtant j'hésitai encore quelques peu, je n'avais pas envie de reprendre la route et d'attendre jusque chez nous.

- OH ! M'exclamais-je légèrement, une légère moue.

- Tu crois que nous serons à la maison en cinq minutes ? Car je crois que ça sera déjà trop long pour moi !

Ajoutais-je toujours la même moue sur son visage.

_ Laisse-moi conduire dans ce cas là...

Je me levai d'un bond, tout en récupérant les affaires qui nous entouraient et lui tendis pour qu'elle puisse les enfiler à la hâte.

Nous regagnâmes la voiture en moins de deux, et tout de suite après je déboitai sur la route. La db9 réagit tout de suite à mes accélérations, dépassant les 200km/h en moins d'une minute. Je pris le chemin le plus court, tournant sans cesse vers des petites routes désertes.

Je laissai ma main se balader le long de ses cuisses pour entretenir son excitation, comme si j'attisai un feu de cheminée. J'aperçus les premières formes de notre maison, pilant juste devant notre entrée. La voiture fit une embardée, s'arrêtant à un millimètre d'un arbre.

_ Pffiou il était temps, j'ai failli abîmer ta voiture! Tu me rends incontrôlable mon amour. lui dis-je en souriant alors que je me penchais déjà vers elle pour l'embrasser.

Laisse moi conduire dans ce cas là ? Cela voulait tous dire, je ne conduisais pas encore assez vite pour monsieur. Il me releva d'un bon et je me rhabillais en vitesse.
Il m'attira très vite à la voiture, et déboita à toute vitesse sur la route. Tout en prenant soin de prendre les route déserte et le chemin le plus court, il laissai glissé sa main le long de ma cuisse, je ne tenais plus. Et lui s'amusait avec moi !

Heureusement je vis le cottage à 500 m de là, et soupira de soulagement. Mais je poussai un petit crie lorsque je vis ma voiture s'arrêter à quelques mettre de l'arbre. Même si je ne la conduisais jamais je ne voulais que personne d'autre que moi ne l'abime. C'était logique non ?

Incontrôlable ? Et moi donc ! Je m'empressai alors d'attraper ses lèvres qu'il me donné.